Mercredi 17 septembre 2025
Mes biens chers vous,
Cela faisait des jours que je l’attendais, avec cette fébrilité propre aux lecteurs qui espèrent un nouveau roman d’un de leurs auteurs préférés. Je l’ai reçu hier, ce petit trésor, et bien évidemment, que croyez-vous que j’ai fait? Nuit blanche 😂
Mais avant de vous en parler pus en détail, laissez moi vous présenter son auteur:
Jean-Luc Bizien.
Confrère, mais surtout ami, il est de ces écrivains rares qui savent nous emporter dans des univers puissants, sombres parfois, lumineux toujours par la force de leur humanité.
Peut-être parce que son parcours est singulier. Peut-être parce qu’il fait partie de ces êtres qui savent être durs pour défier l’injustice et doux quand il s’agit d’amour ou d’amitié.
Né en 1963 à Phnom Penh, au Cambodge, Jean-Luc Bizien a grandi au cœur d’un monde déjà marqué par le mouvement et l’exil. Devenu instituteur, il a enseigné une quinzaine d’années avant d’écouter pleinement la voix de l’écriture. Très tôt passionné par l’imaginaire, il s’est d’abord illustré dans les jeux de rôles et a remporté en 1994 le Prix Casus Belli pour Chimères. Mais ce n’était que le début…
Jean-Luc Bizien a cette capacité rare à franchir les frontières des genres : il écrit aussi bien pour la jeunesse que pour les amateurs de thrillers, pour les passionnés d’histoire que pour ceux qui aiment l’aventure ou le fantastique.
Ses romans policiers historiques, comme Les enquêtes de l’aliéniste (La Chambre mortuaire, L’Archer fantôme…), nous plongent dans le Paris du XIXᵉ siècle, entre science naissante et mystères occultes.
Sa Trilogie des Ténèbres est un pur bijou de suspense contemporain, haletant et terriblement humain.
Ses romans d’aventures et ses livres-jeux (Vivez l’aventure) ouvrent des portes aux plus jeunes… et à ceux qui ont gardé une âme d’enfant.
Ce talent n’a pas tardé à être reconnu :
Prix du Roman d’Aventures en 2002 pour La Mort en prime time ;
Prix Gérardmer Fantastic’Arts la même année pour WonderlandZ ;
Prix Lion Noir en 2011 pour La Chambre mortuaire ;
sans oublier sa place au sein de la Ligue de l’Imaginaire, aux côtés d’autres grands noms de la littérature contemporaine. Et du mien…
Parce qu’ouvrir un roman de Jean-Luc Bizien, c’est accepter de plonger dans une atmosphère unique. Ses intrigues sont construites comme des labyrinthes : chaque détour réserve une surprise, chaque ombre cache une vérité. Mais au-delà du suspense, c’est toujours l’humain qui prime. Ses personnages nous ressemblent : fragiles, courageux, tourmentés, mais profondément vivants.
C’est cette générosité d’écriture. On sent, à chaque page, qu’il prend plaisir à raconter. Son regard est celui d’un artisan du récit : minutieux, inspiré, soucieux du détail mais sans jamais perdre le souffle romanesque qui nous emporte.
Et son petit dernier, à la couverture aussi belle que le contenu est mystérieux, ne fait pas exception.
Le cabinet des Illusions. Enquête à Vienne 1902.
J’ai adoré le personnage de William, ce magicien qui, à lui seul porte tous les secrets de cette intrigue dans l’un des nombreux revers de ses pouvoirs “magiques”. Son épouse, Olive-Suee Seen, bien plus qu’une assistante sur scène, et tous ses compagnons qui, formant une troupe improbable de caractères et d’ambitions, vont peu à peu faire émerger un univers au-delà du possible. J’aime le mystère de cette ville de Vienne, flamboyante au début du XXème siècle et ce qu’elle recèle de secrets cachés…J’aime le rythme, feutré comme les tapis d’un salon sur lequel on avance en se demandant si dessous, une trappe ne va pas vous plonger dans un abîme effroyable. Et vous savez quoi? Non.?.. je ne vous dis rien.
Sortie le 24 septembre, dans quelques jours. Avec une belle avant première.
merci de confirmer votre présence par mail avant le 19 septembre: eric@presse-et-communication.fr
Et un apéro rencontre le 26….
Précipitez-vous!!!
Mireille