MON COUP DE COEUR D'OCTOBRE

Mardi 14 octobre 2025

Mes biens chers vous,

Il y a dans certains thrillers une tension qui ne tient pas qu’à l’intrigue, mais à la justesse des âmes.
Une manière de dire l’indicible, de sonder le cœur des hommes et d’effleurer la folie sans jamais la trahir.

C’est tout cela que l’on retrouve chez Sandrine Destombes, dont le nouveau roman Les Malveillants, à paraître chez XO Édition après demain, s’impose déjà comme l’un des grands rendez-vous du polar de cette fin d’année.

Sandrine Destombes, vous la connaissez peut-être déjà pour Les Jumeaux de Piolenc, Grand prix VSD du polar 2018, ou pour Madame B, lauréat du Prix de la Ligue de l’Imaginaire en 2020.
Femme discrète mais redoutable conteuse, elle s’est imposée par sa capacité à explorer la noirceur humaine sans jamais perdre le fil de l’émotion. Chez elle, chaque mot a le poids d’un silence, chaque scène la densité d’une cicatrice. Et c’est ce que j’ai adoré dans ce livre, dévoré d’une traite en avant première cette nuit.

Les Malveillants, c’est la précision d’une orfèvre du suspense

Issue du monde de la production audiovisuelle, Sandrine Destombes écrit comme on cadre un film : chaque scène est construite, chaque silence respire. Mais au-delà de la mécanique du suspense, ce qui frappe dans Les Malveillants, c’est la justesse humaine. L’autrice explore les blessures enfouies, les loyautés qui vacillent, les colères rentrées, et ces vérités qui font mal… parce qu’elles nous ressemblent.
Lire Les Malveillants, c’est accepter de plonger dans la tempête et d’en ressortir, trempé d’émotion mais plus lucide, plus vivant. Et il est rare, aujourd’hui, de lire un thriller qui ne cherche pas seulement à faire peur, mais à faire sens.

Allez, je vous raconte, mais pas trop quand même 😂

Dans le Gard, les pluies cévenoles s’abattent sans relâche, déversant leur colère sur les terres trempées.
Quand on découvre une jeune femme ensevelie, vivante mais inconsciente, l’affaire prend une tournure troublante : son visage ressemble étrangement à celui d’Océane, une adolescente disparue huit ans plus tôt. Entre Domitille Fourest, capitaine de la brigade de recherches de Nîmes, et Gab Zeller, enquêteur des affaires non élucidées, s’ouvre une course contre la montre pour déterrer les vérités que le temps croyait avoir englouties.

Et quelles vérités!

Je suis heureuse que cette grande dame ait rejoint XO. Car croyez-moi, vous n’avez pas fini d’entendre parler de ce talent qui pétille comme une flamme insoumise dans son regard.

 Aves Les Malveillants, Sandrine Destombes confirme qu’elle est bien l’une des plus fines architectes de l’ombre de sa génération.

Je suis fière de la compter parmi les membres de la ligue de l’imaginaire. Fière de la compter parmi les auteurs d’ XO. Et impatiente de pouvoir demain passer du temps avec elle à papoter sur les salons…

Et vous, qu’en pensez vous?

J’ai hâte de lire vos commentaires et de vous voir aussi ce soir en visio.

Bises chaleureuses à tous,

Mireille

Les rendez-vous de Mireille Calmel

Par Mireille Calmel

Je suis née en décembre 1964, et depuis, je n’ai eu de cesse de me battre contre la maladie, la peur, l’adversité.

Condamnée trois fois par la médecine traditionnelle, j’ai eu la chance, immense, de m’en sortir grâce à ma mère, célèbre guérisseuse dans le midi de la France, mais aussi par l’usage des plantes médicinales, des huiles essentielles et une hygiène de vie rigoureuse.

Ma force, mon énergie, c’est dans l’écoute, le partage avec les autres et surtout, surtout dans l’écriture que je la puise.

Voici vingt cinq ans, j’ai signé mon premier contrat d’édition dans la prestigieuse maison XO pour un roman intitulé “Le lit d’Aliénor” qui allait séduire plus d’un million et demi de lecteurs.

Depuis, j’enchaîne les best-sellers. 32 à ce jour, toujours chez XO, car je suis d’un tempérament fidèle.

Mais cette réussite, c’est surtout à vous, mes millions de lecteurs que je la dois.

Ce sont vos regards qui pétillent, nos rires partagés, nos moments complices qui font mon bonheur. Qui font que la petite fille terrifiée d’hier est parvenue à s’aimer un peu. Juste assez pour rester humble face à tout cela et vouloir vous transmettre le meilleur de ce qu’elle aime, de ce qu’elle connaît.

Sans autre prétention que cela: vous remercier du fond du coeur de votre confiance sans cesse renouvelée.